Pour ou contre partir en camping

Se reposer sur le sein de la nature : qui d’entre nous, grands citadins, n’en voulait pas en vacances ? Certains amis essaient de nous conseiller : seuls ceux qui « campent » connaissent, bien sûr ; les autres essaient de nous le déconseiller : Le camping est vraiment le dernier. Voici les arguments de certains pour et contre le camping.

Pour le camping :

1. un hôtel ou une auberge ne peut pas être aussi « en pleine nature » qu’une tente ou une caravane (caravane).

2. le camping est bon marché, comparé à la hausse constante des prix des hôtels.

3. beaucoup d’enfants et d’animaux peuvent être emmenés au camping, ce qui est perçu comme dérangeant dans les hôtels, mais aussi dans les auberges plus simples.

4. Pas besoin de code vestimentaire dans les campings contrairement à certains hôtel.

5. le « campeur » n’est lié à aucun lieu ; s’il ne l’aime pas à sa première destination de vacances, il en cherche une deuxième.

6. la camaraderie du campeur dans leurs tente est grande, vous pouvez toujours avoir de vraies expériences communautaires là-bas.

7. tout ce qui se trouve sur le camping est naturel.

Contre le camping :

1. les conducteurs de (relativement) petites voitures avec des remorques (relativement) grandes sont, à moins qu’ils n’aient déjà conduit des autobus ou des camions sur des routes de passage étroites, un risque de circulation routière surdimensionnée pour eux-mêmes et pour les autres.

2 Beaucoup parle contre les campings, certainement :  des prix de plus en plus inabordables ; aussi l’aversion contre les enfants et les animaux (ce n’est pas complètement infondé : d’autres clients de l’hôtel se plaignent alors à savoir) ; mais qu’ils auraient quelque chose à objecter raisonnablement comme par exemple la distance des sanitaires.

3 Le mélange de radios portables, de toilettes de fortune puantes et de vermine âcre qui composent un camping est peut-être décrit de manière quelque peu euphémique comme étant de la « nature ».

4. en général, des vacances en camping comme celles-ci se font aux dépens des femmes : Il faut cuisiner et se laver, comme à la maison, seulement dans des conditions difficiles.

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